Subjekt Geschichte

Notizen zur Geschichte des Subjekts

Aristoteles

Bertrand Russel sagt in seinem Verriß der Aristotelischen Logik:

«Substanz gilt als das Subjekt von Eigenschaften und als etwas von den Eigenschaften Verschiedenes.»1

Ist die Verwendung des Wortes Subjekt hier eine Unterstellung oder hatte dieses Wort in der griechischen Antike wirklich schon seinen Platz?

Leibniz

Monadologie

  1. Il y a en Dieu la Puissance, qui est la source de tout, puis la Connoissance qui contient le detail des Idées, et enfin la Volonté, qui fait les changemens ou productions selon le principe du Meilleur. Et c'est ce qui répond à ce qui dans les Monades creées fait le sujet ou la Base, la Faculté Perceptive et la Faculté Appetitive. Mais en Dieu ces attributs sont absolument infinis ou parfaits, et dans les Monades creées ou dans les Entelechies (ou perfectihabies, comme Hermolaus Barbarus traduisoit ce mot) ce n'en sont que des imitations à mesure qu'il y a de la perfection. (Theod. §.7. §.149. 150. §.87.)2


[1] Russell, Bertrand, Die Philosophie des Abendlands, ... URLs: http://www.mauthner-gesellschaft.de/mauthner/tex/russ.html, http://lily.rz.hu-berlin.de/asg/blutner/philos/Texte/russ.html

[2] Gottfried Wilhelm Leibniz, Les Principes de la Philosophie ou la Monadologie, http://www.fh-augsburg.de/%7Eharsch/germanica/Chronologie/17Jh/Leibniz/lei_mona.html